
De retour à Arles en 2025, il me paraissait peu pertinent de refaire un zine. Et puis j’ai passé une semaine là-bas. Le séjour avait goût un peu différent, peut être dû à la meilleur connaissance de la ville, à une pointe de lassitude, ou au pigeon mort devant la porte du airbnb à l’arrivée. Avec un regard un peu différent, je me suis plus attardé sur les habitants que sur la beauté des lieux.
Mais dans le fond, que ce soit 19-24 ou 25, c’est devenu surtout un refuge qui me rappelle un moment de solitude et de calme, en attendant les pérégrinations de l’été prochain.